La symétrie des visages n’exige pas de tout montrer. Notre cerveau d’observateur complète facilement la partie qui manque. C’est un processus neurologique fascinant qui permet de photographier “à l’économie”. L’image doit être plus légère, doit révéler son sujet avec moins d’artifice.
Je vous offre ici quelques-uns de mes animaux préférés sous leur meilleure… moitié. Je vous laisse imaginer le reste.
Un grand merci à Philippe Halot qui m’a, le premier, encouragé dans cette direction (avec la photo de la lionne kényane).