La Nature se meurt. Mais il est toujours possible de l’admirer.

Bien sûr, les images ne remplacent pas les animaux qui disparaissent. Nous devons nous engager volontairement pour sauver les animaux qui semblent s’évaporer sous nos yeux (il y a quinze ans, je redécouvrais la photo à travers les animaux sauvages ; aujourd’hui, le monde a déjà changé, bien des animaux ne sont plus là ; que verront nos enfants ?) mais nous pouvons aussi nous émerveiller pour nourrir notre envie de poursuivre ou de retrouver le chemin de la cohabitation entre l’homme et la Nature.

Je vous invite à :